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Système de classification Info-Muse pour les musées d'ethnologie, d'histoire et d'archéologie historique
Le système de classification permet de regrouper les objets d'une collection d'après leur fonction d'origine. Celui-ci propose une répartition selon une hiérarchie dont la plus petite unité est le nom de l'objet, l'unité intermédiaire, la sous-catégorie et l'unité la plus grande, la catégorie. Cette structure établit une organisation logique et significative de l'information sur l'identification des objets. Le découpage normalisé de l'information facilite la recherche de l'information et l'accès à celle-ci. Afin de maximiser la performance du système, il est nécessaire d'utiliser des termes normalisés pour désigner les objets. -
Système de classification Info-Muse pour les musées de beaux-arts et d'arts décoratifs
Depuis 1995, le système de classification Info-Muse pour les collections de beaux-arts et d'arts décoratifs s'appuie sur l'Art & Architecture Thesaurus (AAT). Les responsables du AAT ont d'ailleurs approuvé son utilisation. Le système s'appuie sur le rigoureux travail de recherche effectué par Thérèse Labbé, alors consultante en muséologie, qui s'est acquittée de cette tâche avec succès pour le Réseau Info-Muse. Des représentants de la Fondation David M. Stewart, du Musée d'art contemporain de Montréal, du Musée David M. Stewart, du Musée des arts décoratifs de Montréal, du Musée des Sœurs grises de Montréal, du Musée du Québec, du RCIP et du Réseau Info-Muse avaient alors participé aux réflexions. Le système a de nouveau été révisé en 2006 afin de refléter les changements reliés à la diversification des pratiques en art contemporain. Thérèse Labbé, recherchiste-documentaliste au Musée national des beaux-arts du Québec, a accepté d'animer un groupe de discussion sur le sujet. Des représentantes de la Galerie Leonard & Bina Ellen, du ministère de la Culture et des Communications du Québec, du Musée d'art contemporain de Montréal, du Musée des beaux-arts de Montréal et de la Ville de Gatineau ont participé aux travaux. Les deux subdivisions du sous-groupe « Art » de l'AAT, « Beaux-arts » et « Arts décoratifs », correspondent aux catégories du système de classification Info-Muse. Les sous-catégories pour la catégorie « Beaux-arts » se rapportent aux diverses disciplines artistiques et les sous-catégories pour la catégorie « Arts décoratifs » font référence aux diverses familles ou groupes de métiers d'art et leur application à l'industrie. Dans la liste qui suit, les termes précédés d'un chiffre sont les « catégories » et ils doivent être inscrits dans le champ Catégorie de l'objet. Les autres termes, qui représentent les « sous-catégories », doivent être inscrits dans le champ Sous-catégorie de l'objet. -
fragment
Les fragments de vase en céramique de type amérindien sont liés à un récipient servant à la cuisson et au transport. L'objet date du milieu du Sylvicole supérieur (1 000 à 450 ans avant aujourd'hui). L'artéfact dépourvu de décoration mesure 5,5 cm de hauteur et 4,5 cm de largeur. -
fragment
Les fragments de vase en céramique de type amérindien sont liés à un récipient servant à la cuisson et au transport. L'objet date du milieu du Sylvicole supérieur (1 000 à 450 ans avant aujourd'hui). L'artéfact dépourvu de décoration mesure 6 cm de hauteur et 3,5 cm de largeur. -
fragments
Les fragments de vase en céramique de type amérindien sont liés à un récipient servant à la cuisson et au transport. L'objet date du milieu du Sylvicole supérieur (1 000 à 450 ans avant aujourd'hui). Le plus gros fragment de l'artéfact dépourvu de parement mesure 4 cm de hauteur et 7 cm de largeur. -
fragments
Les fragments de vase en céramique de type amérindien sont liés à un récipient servant à la cuisson et au transport. L'objet date entre 1000 et 1300, soit du milieu du Sylvicole supérieur (1 000 à 450 ans avant aujourd'hui). Les trois tessons recollés mesurent ensemble 3 cm de hauteur et 7 cm de largeur. -
fragments
Les fragments de vase à parement en céramique de type amérindien sont liés à un récipient servant principalement à la cuisson. L'objet date du Sylvicole supérieur tardif (650 à 450 ans avant aujourd'hui). Le fragment de rebord dont le parement et une partie du col sont décorés d'incisions mesure 7 cm de hauteur et 12 cm de largeur. -
fragments
Les fragments de vase à parement en céramique de type amérindien sont liés à un récipient servant principalement à la cuisson. L'objet date du Sylvicole supérieur tardif (650 à 450 ans avant aujourd'hui). Le fragment de rebord dont le parement est décoré d'incisions mesure 5 cm de hauteur et 25 cm de largeur. La lèvre mesure 0,8 cm d'épaisseur, le parement mesure 2,2 cm de hauteur et le diamètre intérieur mesure 24 cm. -
fragments
Les fragments de vase en céramique de type amérindien sont liés à un récipient servant principalement à la cuisson. L'objet date du Sylvicole supérieur tardif (650 à 450 ans avant aujourd'hui). Le fragment sobrement décoré mesure 2 cm de hauteur et 8,5 cm de largeur. La lèvre mesure 0,7 cm d'épaisseur et le diamètre intérieur mesure 12 cm. -
fragments
Les fragments de vase à parement et à crestellation en céramique de type amérindien sont liés à un récipient servant principalement à la cuisson. L'objet date du Sylvicole supérieur tardif (650 à 450 ans avant aujourd'hui). L'artéfact mesure 5 cm de hauteur et 6 cm de largeur. La lèvre mesure 0,8 cm d'épaisseur et la hauteur du parement mesure 5,2 cm. -
fragments
Les fragments de vase à parement en céramique de type amérindien sont liés à un récipient servant principalement à la cuisson. L'objet date du Sylvicole supérieur tardif (650 à 450 ans avant aujourd'hui). L'artéfact dépourvu de crestellation mesure 7 cm de hauteur et 13 cm de largeur. La lèvre mesure 0,7 cm d'épaisseur, le parement mesure 2 cm de hauteur et le diamètre de l'ouverture mesure 17 cm. -
perle
La perle tubulaire en verre, servant aux échanges avec les populations autochtones et à la parure des Européens (bijoux, chapelets, habillement), est fabriquée entre le XVIe et le XIXe siècle. Elle est faite d'une couche de verre bleu cobalt opaque. Elle est décorée de six séries de lignes composées chacune d'une ligne de verre rouge opaque sur une ligne de verre blanc opaque, donnant une alternance : blanc, rouge, blanc. Une couche de verre transparent, appelée « gainage », est visible à la surface de la perle. Elle est cassée aux deux extrémités. L'artéfact mesure 15,8 mm de longueur et 4,6 mm de diamètre. -
perle
La perle ovale en verre, servant aux échanges avec les populations autochtones et à la parure des Européens (bijoux, chapelets, habillement), est fabriquée entre le XVIe et le XIXe siècle. Elle est faite d'une couche de verre blanc opaque dans lequel deux teintes rose et bleu pâle ont été ajoutées. Elle est dépourvue de décor. L'artéfact mesure 6,2 mm de longueur et 3,1 mm de diamètre. -
pointe foliacée
La pointe foliacée à base convexe et à encoches latérales de type « Crawford Knoll » est faite en quartzite de Mistassini. L'objet, lié à la chasse ou à la guerre, date de l'Archaïque récent (5 500 à 3 000 ans avant aujourd'hui). L'artéfact mesure 3,23 cm de longueur, 1,93 cm de largeur et 0,56 cm d'épaisseur maximale, pour un poids de 3,2 g. -
pointe triangulaire
La pointe triangulaire à pédoncule de type « Innes » est faite en rhyolite. L'objet, lié à la chasse ou à la guerre, date de l'Archaïque récent (5 500 à 3 000 ans avant aujourd'hui). L'artéfact mesure 3,12 cm de longueur, 1,73 cm de largeur et 0,84 cm d'épaisseur maximale pour un poids de 3,4 g.